lundi 24 novembre 2014

Henri Henri

Henri Henri est un film québécois réalisé Martin Talbot et paru au cinéma le 7 novembre 2014. Je n'ai malheureusement pas eu la chance  d'aller le voir au cinéma. Mais pour avoir vu la bande-annonce, ce sera un film que je regarderais absolument à sa sortie en dvd. 







                       Voici la bande-annonce:
 Henri a été élevé par des sœurs dans un couvent. Lorsqu'il vient le temps pour elles de déménager, elles laissent donc Henri seul, vivre sa vie. Suivant donc les signes que la vie lui envoie, Henri continue de faire ce qu'il a appris chez les soeurs, soit à être relampeur. Il travaille donc dans une boutique de lampe, et dans le cadre de son nouvel emploi, il rencontra un homme qui ne veux pas oublier sa gloire du passé et une jeune aveugle qui travaille dans cinéma pour adulte, dont il tombe follement amoureux.


J'ai bien hâte de voir ce film, une histoire bien touchante qui sort un peu de l'ordinaire à mon avis. À voir!

Bonne semaine!

Marie-Andrée B.




Across The Univers

Across The Univers est un film réalisé par Julie Taymor qui parut en 2007. C'est l'histoire de Jude, un jeune garçon de la classe ouvrière provenant du Liverpool et de Lucy, une jeune fille d'une bonne famille provenant de l'Amérique. Ils se rencontreront grâce à Max, le frère de Lucy, qui se fit sauver par Jude alors qu'il se sauvait. Les 3 amis vivront de nombreuses aventures accompagnées de la musique des Beatles. Une histoire d'amour naitra au saint de ce petit groupe, entre Jude et Lucy. La musique les accompagnera au cours de ces manifestations contre la guerre du Vietnam et lors de la guerre elle même.

 Jim Sturgess dans le rôle de Jude

 J'ai bien aimé l'histoire de ce film, une belle histoire d'amour qui vit des hauts et des bas, ce qui est bien normal. Par exemple, j'ai moins aimé le côté comédie musical du film qui rendait un peu la chose "quétaine". Bien que les chansons des Beatles soit merveilleuses, la façon où elles sont amenées rendent la chose trop clichée à mon goût. Le jeu des acteurs est très bien, l'histoire est très intéressante, même si parfois j'avais l'impression d'être sur un tripe d'acide.
Pour ces raison, je donne donc 3,2/5 à ce film!

Bonne semaine! 

Marie-Andrée B.








lundi 17 novembre 2014

Une Seconde Chance - Nicholas Sparks

Je suis récemment aller voir au cinéma Une seconde Chance, film réalisé par Micheal Hoffman et inspiré d'un des livres de Nicholas Sparks. Étant une fanatique de film de filles, je ne pouvais passer à côté de ce dernier. Donc voici un petit résumé de ce film.

 C'est l'histoire de 2 jeunes venant de deux milieux complètement différents. Dawson vient d'une famille de bandit dont il tente de ce dissocier, car il n'est pas à sa place au près d'eux et Amanda vient d'une famille assez aisée. Ils se rencontrèrent un jour à la suite d'une panne de moteur et depuis, il ne se quittèrent plus jamais. Jusqu'à ce que Dawson fasse une erreur irréparable qui les sépara pendant 20 ans, jusqu'au jour où ils furent appelé les 2 pour le testament d'un ami en commun. Elle s'est mariée et a un enfant, et lui est toujours célibataire. Est-ce que la flamme, qui c'était éteinte depuis si longtemps, reviendra à la suite de cette rencontre?

 








 Ici les jeunes Dawson et Amanda

  



 J'ai bien aimé ce film, j'ai été très touché par certains dénouements dans l'histoire. On s'attache énormément aux personnages dans l'histoire tellement ils sont bien interprété, et on déteste énormément la famille de Dawson qui est très méchante et désagréable. J'aurais donné un 5/5 à  ce film jusqu'à ce que la fin survienne et que je décroche, car elle était tout simplement prévisible. On aurait pu aller ailleurs pour conclure cette magnifique histoire. pour cette raison, je donne 3.8/5.

Bonne Semaine!

Marie-Andrée Brouillard

 







lundi 27 octobre 2014

Munich de Steven Spielberg

Munich est un film réalisé en 2006 par Steven Spielberg. Ce film s'inspire et débute sur l'évènement des jeux olympiques d'été de 1972 se déroulant à Munich. Des palestiniens, membre du groupe septembre noir, prirent en otage et tuèrent des athlètes israéliens durant la nuit. Afin d'exterminer plusieurs responsables  palestiniens lié à cet attentat, le gouvernement israélien donnera donc à Avner Kaufmann, ancien garde du corps de Golda Meir et agent du Mossad, la mission de réunir une équipe indépendante et de tuer ces gens. Ils mèneront donc en action plusieurs attaquent envers ces terroristes qui ont un lien avec l'attentat de Munich.

Voici donc 5 notions de prise de vue en fonction du montage:

1- Scène alternée: Nous pouvons trouver au début du film, de 9:53 à  10:46, où on peut voir à la télé l'énumération des victimes, et dans une salle d'enquête, on peut voir l'énumération des suspects. On y alterne des informations importantes, tant au niveau des victimes que des suspects. On y croise ici l'information.

2- Surimpression: de 25:30 à 25:35, on retrouve une surimpression par rapport au éclat de sang sur le murs et du ciel rouge. Avner, le personnage principal, sort donc de ces pensées à ce moment là.

3- Insert: à 25:42, nous avons un très gros plan sur la bague de fiançailles ou de mariage de Avner montrant donc l'importance que sa femme a pour lui, son amour pour elle.

Exemple d'insert

4- Continuité sur le mouvement: de 1:13:06 à 1:13:54, la troupe d'attaque suis toujours un sens logique dans leurs mouvements, ce qui nous permet de toujours bien suivre où ils vont sans penser qu'ils retournent sur leurs pas.

5- Transition sonore: à 2:28:35 du film, nous voyons Avner, dans son lit, incapable de fermer l'oeil, et à ce moment, on commence à entendre la musique de la vision d'horreur qu'il s'imagine. Cela permet de nous faire comprendre que la scène vient de sa tête, des images qui ne cesse de se repasser dans sa tête.

En conclusion, je n'ai pas très apprécié ce film. La scène qui nous avait été présenté en classe m'avait attirée,mais j'ai rapidement décroché par la suite avec ces meurtres qui ne finissaient plu. Bien sûr, il fallait certainement s'y en attendre, mais je crois que c'était un peu trop. Par exemple, le côté historique de l'histoire est intéressant, en créant une touche de fiction sur la revanche de l'Israël par rapport à la Palestine.
Ce film est donc parfait pour ceux qui aime bien les films remplis de combat, de fusils et de truquage avec des bombes, mais dans mon cas, je lui donnerai 2,7/5.


Bonne semaine!

Marie-Andrée Brouillard


dimanche 26 octobre 2014

Tom Hanks

Tom Hanks âgé de 57 ans
Tom Hanks est un acteur que j'aime beaucoup. Voici donc une petite biographie de ce merveilleux acteur.

Tom Hanks est né le 9 Juillet 1956 à Concord en Californie, aux États-Unis. Il est un acteur réalisateur et producteur. 
En 1965 Hanks s'inscrit dans des cours de théâtre, et son professeur, impressionné par son talent, l'encourage à continuer et travailler fort. Il gagnera en 1974 le prix d'interprétation de son école.
Il essaya a plusieurs reprises de joindre les productions théâtrales de son université, en vain. Jusqu'au jour où il rencontra Vincent Dowling, le metteur en scène de la pièce pour laquelle Tom Hanks auditionne, La cerisaie de Tchekov, et qu'il fut impressionné par son talent. Il l'invite donc au festival du théâtre de Cleveland, dans lequel il s'impliqua pendant 3 ans. Il lâchera donc l'université afin de débuter sa carrière d'acteur.


Forrest Gump


Voici donc la grande liste de film dans lesquels vous pourrez voir Tom Hanks:

  • Noces sanglantes (1980)
  •  Splash (1984)
  • Le palace en délire (1984)
  • L'homme à la chaussure rouge (1985)
  • Toujours prêts (1985)
  • Une baraque à tout casser (1986)
  •  Rien en commun (1986)
  • Every Times We Say Goodbye (1986)
  • Dragnet (1987)
  • Big (1988)
  • Le mot de la fin (1988)
  • Les banlieusards (1989)
  • Turner et Hooch (1989)
  • Joe contre le volcan (1990)
  • Le bûcher des vanités (1990)
  • Le rêve de Bobby (1992)
  • Les conte de la crypte (1992)
  • Une équipe hors du commun (1992)
  • Nuits blanches à Seattle (1993)
  • Philadelphia (1993)
  • Forrest Gump (1994)
  • Apollo 13 (1995)
  • Toy story (voix) (1995)
  • That thing you do! (1996)
  • Il faut sauver le soldat Ryan (1998)
  • Vous avez un mess@ge (1998)
  • Toy story 2 (voix) (1999)
  • La ligne verte (1999)
  • Seul au monde (2000)
  • Les sentiers de la perdition (2002) 
  • Arrête-moi si tu peux (2002)
  • Mariage à la grecque (2002)
  • Ladykillers (2004)
  • Le terminal (2004)
  • Elvis Has Left The Building (2004)
  • Le pôle express (voix) (2004)
  • Magnificient Desolation: Walking on The Moon 3D (narration) (2004)
  • Da Vinci code (2006)
  • La guerre selon Charlie Wilson (2007)
  • Les Simpson, le film (voix) (2007)
  • Anges & Démons (2009)
  • Toy story 3 (voix) (2010)
  • Il n'est jamais trop tard (2011)
  • Extrêmement fort et incroyablement près (2011)
  • Cloud Atlas (2012)
  • Capitaine Phillips (2013)
  • Dans l'ombre de Mary (2013)
  • St. James place (2015)

La ligne verte
Forrest Gump restera le film qui m'a le plus marqué et qui m'a aussi fait connaitre cet acteur que je trouve formidable! Depuis que je connais cet acteur, j'ai réalisé qu'il jouait dans plusieurs films que j'aimais, dont la ligne verte, Da Vinci code et les Toy story. Son jeu d'acteur est parfait, il peut passé du comique au dramatique sans problème. Dans Forrest Gump, par exemple, on oublie quasiment que c'est lui, on croit vraiment à son personnage qui est simple d'esprit. On oublie l'acteur et on admire ce film. j'ai maintenant une longue liste de film à voir!

Bonne semaine!

Marie-Andrée B.


Seul au monde

 

mardi 14 octobre 2014

La lumière de décrochage ou "Back light"

La lumière de décrochage, aussi appelé "back light" est fine ligne de lumière qu'on peut apercevoir sur le bord du visage, des épaules etc. C'est un effet causé par les "spots" d'éclairage. Ce léger éclairage délimite aussi le personnage du décors si il est dans un décors plus sombre. Voici donc 2 exemples pour mieux expliquer ce phénomène.

Exemple numéro 1: Le vidéoclip de Thinking Out Loud de Ed Sheeran


On peut voir presque tout le long du vidéo cette lumière de décrochage. Mais voici un exemple plus clair pour vous donnez une meilleure idée:
 On peut voir le long des cheveux des 2 personnes cette lumière, le long du bas du visage et du cou de la jeune fille, le long du dos de l'homme, le long des jambes de la femme et le dessous de son pied qui est relevé. Il se démarque donc du décors qui, en dehors des 2 lumières qui les cadres, est assez fade.

Exemple 2: La bande-annonce du film The Maze Runner (le labyrinthe)


On peut voir à 0:23 du vidéo cette lumière de décrochage.

On peut voir sur la droite de son visage (gauche de notre point de vue) la lumière "coupé" son visage. En fait, c'est un semblant de reflet que la peau fait avec la lumière dans ce cas, car la lumière est très forte lors de cette scène. On voit aussi le "back light" sur ces épaules et un peu sur son autre joue. Cela lui permet de ressortir un peu plus, et de couper le soleil qui est assez éblouissant.

Voilà 2 exemple de la lumière de décrochage, mais il assez facile de retrouver cette lumière dans presque tous les films!

Bonne Semaine!

 

Le village de M. Night Shyamalan

Aujourd'hui, le sujet du jour est M. Night Shyamalan, un réalisateur hollywoodien. Voici donc sa filmographie:
- Le sixième sens (1999)
-Incassable (2000)
-Signes (2001)
-Le village (2004)
-La jeune fille de l'eau (2005)
-Phénomène (2008)
-Le dernier maitre de l'air (2010)
                              -After earth (2013)

Pour compléter cet article sur M. Shyamalan, j'ai décidé d'écouter Le village, d'en faire une petite analyse du langage cinématographique et de retrouver monsieur Shyamalan dans son film (puisse qu'il apparait dans chacun de ses films)

Ce film est l'histoire d'un petit village isolé où règne la peur pour "ceux dont on ne parle pas". Ce sont des créatures dangereuses qui vivent dans la forêt avoisinante, et personne ne s'aventure hors du village. De plus, la couleur rouge est  banni de ce village, car elle attire ces créatures. Ils usent même du jaune afin de les repousser. Malgré ces histoires effrayantes et la peur qui règne autour de cette forêt, le jeune Lucius Hunt demandera  aux anciens la permission de traverser la forêt afin d'aller dans les grandes villes récupérer des médicaments. Ce qui ne fera certainement pas plaisir à "ceux dont on ne parle pas".

Langage cinématographique:

Overhead shot: à 2:44, on voit un homme assis près d'un cercueil qu'on pourrait croire être celui d'un enfant (vu la petite taille du cercueil) On sens l'effet d'impuissance que l'homme a par rapport à la mort.

Plan moyen: à 26:42 on voit un homme de la tête au pied dans la forêt, habillé des couleurs du village, sois le jaune.

Travelling avant: 37:54 à 38:03 on suit 2 hommes vers la forêt alors qu'ils vont faire un offrande à "ceux dont on ne parle pas".

Plan américain: à 8:44 on voit Lucius Hunt parler à l'assemblé des anciens.

Effet de reflet : à 1:37:23 on voit le gardien de la réserve faunique prendre des médicaments et dans le reflet de la vitre, on peut voir M. Night Shyamalan lire son journal (qui est alors le chef de cette réserve) on pourrait aussi parler d'un split screen, où on voit 2 actions à la fois.

Comme dit juste ici, le réalisateur apparait dans cette scène de la ville.
                             C'est lui dans le reflet de la porte vitrée.

Le village est un film assez intéressant pour son côté étrange, remplis de mystère qui rode tout autour du village. Avec un  personnage typique des villages d'autrefois comme l'idiot, sa lui donnait une époque ancestrale, qui est pourtant pas tout à fait le cas. Parfois quelques longueurs qui font décroché de l'histoire, le suspense est là quand il se doit. Peut-être pas en grande quantité, mais assez pour donner une petite frousse. J'ai bien aimé le jeu d'actrice de Bryce Dallas Howard, celle qui interprétait la jeune fille aveugle, Ivy Walker. On croyait totalement au fait qu'elle ne voyait absolument rien, que ce soit pour "voir" quelque chose, où elle ne faisait que toucher, sans prendre la peine de regarder (se qui aurait été un réflexe normal ayant habituellement la vue dans la vrai vie) Lorsqu'elle perd ses repères on sent sa détresse, et que la jeune fille est, malgré son handicap, très débrouillarde.
En conclusion, je conseil ce film à ceux qui aime ce genre de film mystérieux, avec une petite légende. Je donne donc un 3.5/5 pour ce film!




vendredi 10 octobre 2014

Nos étoiles contraires (The Fault in Our Stars)

Nos étoiles contraires est un film américain réalisé par Josh Boone et parut le 20 août 2014. Voici donc un court résumé:

Hazel Grace, atteinte d'un cancer des thyroïdes qui s'est propagé dans ses poumons et Augustus Waters, atteint de l'ostéosarcome (ce qui lui fit perdre une partie de sa jambe), ce rencontre dans un groupe de soutien pour jeune qui sont atteint du cancer. Dès le début, ils s'entendront à merveille, et développeront un intérêt commun pour le roman préféré de Hazel, Une impérial affliction de Peter Van Houten. Une grande amitié ce développera entre ces 2 adolescents, pour ensuite se transformer en une histoire d'amour fleurissante.



J'ai beaucoup aimé ce film, très touchant, quelques larmes se sont même versé par moment. L'histoire est merveilleuse, on peut voir un autre côté de la maladie, un peu moins sombre, mais on ne l'oublie pas pour autant, surtout avec la bouteille d'oxygène de Hazel et la jambe de métal de Augustus. Ce film est très bien réalisé, les plans sont magnifiques, j'aime beaucoup!
Je donne donc un 4.2/5 à ce film!

Bonne semaine!

Marie-Andrée B.





 

lundi 22 septembre 2014

Forrest Gump



Pour cette 2e analyse de film, j’ai choisi le film Forrest Gump,  réalisé par Robert Zemeckis et sortie en salle en 1994. Ce film est d’ailleurs récipiendaire de 6 oscars.

Forrest Gump est l’histoire d’un garçon du même nom, qui est retardé mentalement. Il raconte son
histoire au gens qui s’asseoient à ces côtés à l’arrêt d’autobus. Forrest ferra plusieurs rencontres qui changeront sa vie, comme Jenny, sa meilleure amie. On dit de ce garçon qu’il est simple d’esprit, car il prend tout au premier degré. Forrest vivra plusieurs aventures hors du commun qui le mèneront un peu partout dans le monde, mais qui le ramèneront toujours en Alabama, dans la maison de sa maman. Un homme ordinaire, mais qui vivra pleins de choses hors de l’ordinaire tout au cours de sa vie.



Voici l’analyse du langage cinématographique.

« Split Screen » : Il n’y a pas de « split screen » dans ce film.

Ligne des tiers : À 14:41, nous pouvons voir Forrest et Jenny assis  ensemble dans l’autobus. Ils se retrouvent les deux sur la ligne des tiers verticales, représentant l’importance de ces personnages dans l’histoire.

Entrée/Sortie du champ : À 50:32 on voit Forrest rentrer dans le champ de la caméra en courant dans la jungle lors de la guerre du Vietnam, et à 50:35, il sort du champ tout en continuant sa course.

Le champ-contre-champ : De 12:31 à 12:57 on voit une discussion entre la chauffeuse d’autobus et le jeune Forrest qui prend l’autobus pour sa première journée d’école.

Le hors-champ : aucun plan de ce genre.

La profondeur de champ : On voit une Grande profondeur de champ à 8:46, lorsqu’on voit en avant plan Forrest assis sur un banc et à l’arrière on voit clairement madame Gump et le directeur discuter de l’éducation de Forrest. On voit une Faible profondeur de champ à 11:20, lorsqu’on voit à l’avant Forrest danser et à l’arrière, on peut y deviner que c’est Elvis qui est là, mais flou.



 Voici l'exemple de grande profondeur de champ.

Le plan séquence : On trouve un plan séquence au tout début du film, de 0:18 à 2:53, lorsqu’on aperçoit une plume tomber du ciel et atterrir au pied de Forrest. On voit alors que ses chaussures sont sales et usées, ce qui indique que le personnage a du vécu, qu’il a traversé plusieurs épreuves, évènements. La plume est aussi signe du destin qui est très présent dans la vie de Forrest.

Plan de grand ensemble : aucun plan de grand ensemble.

Plan d’ensemble : À 0:31 nous avons un aperçu de la ville dans laquelle Forrest ce trouve lorsqu’il raconte son histoire (quelques seconde après ce plan on l’aperçoit sur le banc d’autobus)

Plan moyen : À 1:48:43, on voit Forrest de la tête au pied dans sa maison, en pleines conversation avec Jenny qui elle monte les marches, en vue en amorce. De plus, Forrest ce trouve sur la ligne des tiers.

Plan américain : À 28:27, on peut voir Forrest et Jenny en plan américain lors de leur discussion (il y aura par la suite un panorama avant qui rendra le plan de taille par la suite)

Plan rapproché taille : À 1:54:56, on peut voir Jenny travailler dans un petit resto et servir du café. On la voit à partir de la taille.

Plan rapproché épaule : À 1 :15 :25 on voit Forrest à la sortie du studio de télé. Il est sur le point de partir lorsqu’il est arrêté par un visiteur inattendu.

 Voici l'exemple de plan rapproché épaule.

Gros plan : aucun gros plan sur un visage.

Très gros plan : À 58:03, nous pouvons constater un très gros de la main de Forrest qui tient une des nombreuses lettres qu’il avait envoyé Jenny. Elles étaient tous étampées pour le retour au destinataire.

Plan subjectif : Aucun plan subjectif.

Plan en plongé : À 18:58, on voit Jenny et Forrest prier pour devenir un oiseau.  Ils sont alors impuissant, car le père de Jenny, qui est alcoolique est à la recherche de sa fille, et il est en colère.

Voici l'exemple de plan en plongé.

Plan en contre-plongée : À 1:27:01 on peut voir madame Blue, la mère de Buba, avec ses enfants parlé avec Forrest. Comme à ce moment elle trouve ridicule l’idée de Forrest, elle est comme en supériorité par rapport à lui.

« Overhead shot » : À 1:43, on peut voir un homme de haut, avec cette prise de vue.

Panoramique horizontal : De 59:36 à 59:42 on voit Forrest jouer au ping-pong, et à la narration il dit que même lieutenant Dan viens le voir. Le mouvement ce fait comme si on tournait la tête, nous permettant de voir, qu’en fait, lieutenant Dan ne regarde que par la fenêtre, il se fou un peu de Forrest.

Panoramique vertical : De 55:22 à 55:25 on peut voir ce plan. Du haut, on voit la fumée des explosions, et en descendant, on voit Forrest qui arrive en courant avec Bouba dans ses bras.

Traveling avant : De 9:38 à 10:03, on se rapproche tranquillement de Forrest et de sa maman qui lui raconte une histoire.

Travelling arrière : De 34:50 à 35:01 on voit une botte, puis en reculant on voit Bouba qui explique à Forrest, tout en cirant sa botte, les différentes façons d’apprêter la crevette.

Travelling vertical : De 14:56 à 15:00, on voit la tête de Forrest apparaître, puis la caméra monte et on voit que Forrest est suspendu la tête à l’envers.

Traveling latéral : De 19:16 à 19:29 on voit Jenny sortir d’une voiture de police et ce fait mener par l’agent de la paix chez sa grand-maman.

Travelling circulaire : Aucun.

Zoom avant et zoom arrière : Aucun.

Caméra à l’épaule : Aucun.

Vue en amorce : À 1:53:06, on peut voir Forrest parler avec la vieille dame à qui il raconte son histoire. Dans ce plan, la vieille dame est de dos, flou et en amorce.


Voici l'exemple de vue en amorce.



Effet de reflet : À 1:48:00 on voit les feux d’artifices se refléter dans l’eau, alors que Jenny et Forrest sont assis sur le bord de l’eau afin de les admirer.

Effet de portail : À 1:02:55 on voit Forrest se faire remettre la médaille d’honneur par un président à la télé. Le téléviseur ce trouve chez le barbier du village.

Effet d’indépendance : aucun.

J’ai adoré ce film. Le personnage principal, Forrest Gump est très attachant et est très bien interprété par un acteur que j’apprécie énormément, Tom Hanks. Il joue un personnage très simple d’esprit avec beaucoup de justesse. On croit vraiment à son jeu d’acteur. De plus, la façon qu’ils ont intégré Forrest à de vrai scène historique est hallucinant, car on aurait vraiment dit que cet évènement c’est vraiment produit, que le personnage a vraiment rencontré tous ces personnages célèbres. L’histoire est vraiment intéressante, pleines de péripéties plus surprenantes et drôles les unes que les autres. Je recommande ce film touchant à tous et je lui donne un 5/5!

Bonne Semaine!


 Marie-Andrée Brouillard

dimanche 14 septembre 2014

La guerre des mondes de Steven Spielberg - Analyse



La guerre des mondes

La guerre des mondes est un film de Steven Spielberg, inspiré du roman du même titre de Herbert George Wells, et qui est sorti en salle en 2005.

C’est l’histoire de Ray Ferrier (Tom Cruise),  un homme divorcé  qui se voit confier ses enfants pour la fin de semaine, car son ex femme part pour la fin de semaine à Boston. Un séjour qui semblera ennuyant pour les enfants, jusqu’à se qu’un orage électrique vienne bouleverser ce petit weekend tranquille où Rachel, 11 ans, Robbie, 17 ans et leur père recréeront des liens afin de sauver leur vie. Il ferra tous pour les protéger, et pour leur prouver qu’il n’est pas un bon à rien, surtout à son fils, avec qui il a une mauvaise relation.


Et Voici l’analyse du langage cinématographique du film.


« Split Screen » : Dans ce film, on ne trouve pas de « spit screen », car il n’y a pas le besoin de donner plus d’information, ou de voir 2 actions à la même fois. On suit toute l’histoire par rapport au personnage principal.


La règle des tiers : à 1 :39 :13, nous pouvons voir un bon exemple de la puissance du point de force et de la règle des tiers dans le film. Un des yeux de Rachel est sur un des points de force, ce qui met encore plus de force sur son regard traumatisé. On sent vraiment la détresse dans son regard.


Le champ : Dans un film, il y a beaucoup d’entrée et de sortie de champ. De 1 :21 :51 à 1 :22 :03, nous avons un bon exemple de ce genre de plan. Au début de cet extrait, le robot entre dans le chant, et à la fin, ce sont Ray et Rachel qui quitte le champ. Ceci donne un effet de cache-cache, de chasse à l’homme, qui donne un  peu de stress dans la scène.


Champ-contre-champ : De 10 :26 à 10 :51, on peut voir une discussion entre Rachel et son père, Ray. De cette façon, on peut mieux voir la réaction qui va avec leur propos. On suit beaucoup mieux la discussion entre les 2.



Le hors-champ : Dans un film de Spielberg, on y retrouve énormément ce genre de plan, un des plans le plus utilisé dans ces films. Pour n’en donner qu’un exemple, à 15 :38, on  peut voir Ray et Rachel regarder quelque chose, on ne sait quoi, ce qui donne un effet de suspense, car on se demande ce qu’ils regardent, gardant donc le spectateur en haleine.

                                                    On peut voir ici l'exemple de hors-champ


  La profondeur de champ : a 9 :10 on a une impression d’une grande profondeur de champ, où ou peut voir Ray et Robbie à l’avant plan,  jouer au baseball, et voir Rachel dans le fond assis à une table, tout aussi clair que les personnages à l’avant. Cela donne donc un aspect de grandeur à la scène et à la cours, où ils se trouvent à ce moment.

À 10 :25 on a une faible profondeur de champ. En effet, car la vitre cassée est floue, tandis que Ray, se trouvant de l’autre côté, est plus net. Donc l’effet de profondeur n’y est pas en raison du flou. Mais on peut percevoir la déception de Ray par rapport à son lancé qui a brisé la fenêtre.


Plan séquence : Dans ce film, en raison de l’action qui est assez présent, je n’ai pas tant trouvé de plan séquence. En fait, j’en n’ai trouvé un seul, qui se passe de 32 :02 à 34 :32, où on voit les personnages dans la voiture, ce sauvant de la ville. Avec ce genre de plan, on suit les personnages, et on peut sentir leurs émotions, le stress qu’ils vivent et l’urgence de partir.


Le plan de grand ensemble : on trouve ce plan a 2 :43, où on peut voir les docks où le personnage principal, Ray, travaille. On voit aussi la  ville au loin. On situe l’histoire, mais plus vaguement qu’avec un plan d’ensemble.


Le Plan d’ensemble : on en trouve un à 1 :54, où on peut voir une vue d’ensemble sur une rue quelconque dans la ville où l’histoire ce situe. Cela nous met encore plus en contexte.


Le plan moyen : On peut trouver un plan moyen à 1 :46 :44 du film,  où on peut voir Ray rapporter sa fille dans ses bras. Cela donne un effet de réussite, d’accomplissement.


Le plan américain : À 13 :45 on peut distinguer un de ces plans : Par rapport à sa présence dans le cadre, dans cette scène, il a l’air plus petit par rapport à l’orage qui survient. Un signe de faiblesse par rapport à ce qui va survenir plus tard dans le film.


 Le plan rapproché taille : On peut trouver ce plan à 1 :43 :01, où on voit Ray et Rachel fuir. On ne voit pas où ils marchent, où ils vont, donc ce plan donne un léger mystère, sans plus.


Le plan rapproché épaule : À 1 :31 :02, On peut voir Ray discuter avec un homme sous ce plan. Ce plan est le plus utilisé lors de dialogue, car on perçoit mieux les expressions faciales.


Le gros plan : Lors de ce gros plan à 1 :26 :12, on peut voir en gros plan le visage de Ray, effrayer et essayant de garder son calme. Lors de ce genre de plan, on essaie vraiment de mettre une emphase sur les émotions du personnage, afin que le spectateur la ressente aussi.

<-- Voici l'exemple de gros plan


Le très gros plan : On en trouve un à 1 :39 :41 où on voit un objet très important qui, quelques instants plus tard, aura un impact sur l’histoire (on ne révèlera pas trop de punch!) Souvent lors de ce genre de plan, les objets mis en valeur auront une certaine importance, sinon on n’e l’est mettrait pas autant en valeur.

Le plan subjectif : Je n’ai pas trouvé de plan qui laissait sous entendre que la caméra prenait la présence de la vision du personnage.


En conclusion, j’ai bien aimé le film. Je n’ai pas raffolé de l’histoire, car je ne suis pas fan de science fiction, mais l’histoire, en son ensemble était bonne. Certains aspects du film me semblaient irréalistes (bien sûr, c’est de la science-fiction, mais il y a quand même des limites) ce qui a fait que j’ai décroché par moment. J’ai beaucoup aimé le jeu d’acteur de Dakota Fanning, qui, à seulement 11 ans, a su démontré à la fois la peur horrible que son personnage vivait et le courage de passer au travers cette aventure. Spielberg est un réalisateur remarquable qui nous épate toujours plus à chacun de ses films. Je recommande donc ce film a des fans de science fiction. Pour ma part, je lui donnerai 3 ½ .


Marie-Andrée Brouillard